Que restera-t-il de notre conception de nous-mêmes lorsque l'intelligence artificielle sera plus douée que nous pour écrire des poèmes ou réaliser des films ?
Le faux “ghibli” qui illustre l’article me semble une parfaite illustration des limitations du l’IA: une imitation époustouflante ennuyeuse après à peine quelques semaines d’ubiquité et dépourvue de la poésie qui fait le charme des films.
Yascha, il me semble que vous faites dans cet article une assimilation directe entre création et consommation. Vous remettez en cause la suprématie de l’IA sur l’homme au prétexte que certains lecteurs ont préféré les créations de l’IA à celle des artistes humains. Ce serait comme faire une évaluation de la qualité de la création à l’aune des ventes des artistes ou de leur cote. Que vaudraient dans ce cas Van Gogh ou Kafka ignores de leur vivant ?
Le faux “ghibli” qui illustre l’article me semble une parfaite illustration des limitations du l’IA: une imitation époustouflante ennuyeuse après à peine quelques semaines d’ubiquité et dépourvue de la poésie qui fait le charme des films.
Yascha, il me semble que vous faites dans cet article une assimilation directe entre création et consommation. Vous remettez en cause la suprématie de l’IA sur l’homme au prétexte que certains lecteurs ont préféré les créations de l’IA à celle des artistes humains. Ce serait comme faire une évaluation de la qualité de la création à l’aune des ventes des artistes ou de leur cote. Que vaudraient dans ce cas Van Gogh ou Kafka ignores de leur vivant ?